Amnesty international :Une déstabilisation diplomatique visant le maroc
Les autorités marocaines pointent du doigt un rapport en date du 22 juin, sur une supposée utilisation d’un logiciel espion produit par l’entreprise israélienne NSO Group par les autorités marocaines pour « espionner » le journaliste Omar Radi.
Le rapport d’Amnesty International qui affirme que le téléphone du journaliste marocain, a été piraté par les autorités marocaines, ce ne sont là que de simples « Allégations » d’Amnesty International sans preuves tangibles ni fondementr les autorités du royaume a été repris par plusieurs titres de la presse internationale. Sauf que pous. D’ailleurs, le gouvernement marocain a « réfuté catégoriquement les allégations infondées » d’Amnesty International. Une drôle de coïncidence qui fait penser « à une véritable opération de déstabilisation diplomatico-médiatique qui a visé le Maroc », souligne une source bien informée à Rabat. La même source ajoute que dans cette affaire, le royaume s’est retrouvé au centre d’une guéguerre entre groupements économiques autour de la commercialisation d’équipements utilisés dans les renseignements.